Alimentations, Soins, Santés
Nous avons été intéressés par ces articles traitant de la santé des chiens. Libre a vous d'agréer la conclusion, mais l'intérêt du sujet nous semble de nature a le porter a votre connaissance. Avec la permission de son auteur, nous en publions donc, en extrait, le début, cliquer ensuite sur le lien "lire l'article" pour être redirigé sur le site de l'auteur.
6/06/11:
Les
pipettes antipuces et anti-tiques (spot-on) sont elles sans
risques pour la santé?
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« Absolument pas »,
dit Kathleen Dudley du THE WHOLE DOG
JOURNAL « malgré ce qu'en disent les
publicités ».
« Il est vrai qu’aujourd’hui les produits insecticides
de type Spot-On ou Pipettes sont considérés par beaucoup comme la
Rolls-Royce des antipuces et se vendent comme des petits pains malgré le
coût final élevé pour le propriétaire de chiens. Chacun des fabricants de
ces produits affirment qu'ils sont sûrs – plus sûrs que jamais – et que
seuls les insectes ciblés seront touchés par les impacts neurotoxiques des
produits. Les produits sont souvent annoncés comme sûrs pour les enfants
et les adultes ainsi que pour les chiots (de plus de huit semaines) et les
chiens âgés. Cela semble t-il trop beau pour être vrai ? Après tout
ils sont peut-être très bons!
Trop beau pour être vrai ? Les produits antipuces/tiques tombent dans quatre
catégories générales d'insecticides. Tous ont des effets neurotoxiques. Sur les trois premiers – l’imidaclopride (un
insecticide chloro-nicotinylique), le fipronil (un insecticide
phenylprazole) et le perméthrine (un insecticide pyréthrinoïde synthétique
à large spectre) – tous fonctionnent en perturbant le système nerveux des
insectes, tuant par contact ou par ingestion. Le quatrième type contient
des régulateurs de croissance des insectes (IGR), qui ne tuent pas, mais
interrompent le cycle de vie de la puce.
L’Imidaclopride
est le premier de sa classe d'insecticides. Il a été introduit en 1994.
Sur les souris, les chiens et les rats, les tests en laboratoire indiquent
que cet insecticide peut être neurotoxique, causant décoordination,
respiration laborieuse, lésions de la thyroïde, poids réduit à la
naissance et augmentation de la fréquence des anomalies congénitales Le
Fipronil est une neurotoxine présumée
cancérogène pour les humains. Le Fipronil peut causer une toxicité
hépatique, des lésions thyroïdiennes (cancéreuses) et des dommages aux
reins, il augmente le taux de (mauvais) cholestérol, et se trouve à
l’origine d’altérations dans les hormones thyroïdiennes, d’incoordination,
de respiration laborieuse, de fausses couches accrues et de troubles de
croissance à la naissance. Dans une étude sur les formulations pour animaux de
compagnie contenant du fipronil, le docteur Virginia Dobozy de la Division
Pesticides de l'Agence de Protection Environnementale déclare
que « c'est un produit chimique à forte rémanence qui est toxique
pour le système nerveux et la thyroïde après un usage prolongé, ceci
même à des doses faibles ».
Le
Perméthrine, un insecticide pyréthrinoïde
synthétique à large spectre, est soupçonné d'être un perturbateur
endocrinien et un insecticide cancérogène (qui provoque des tumeurs du
foie et des cancers du poumon chez les animaux de laboratoire).
Certains produits contenant du perméthrine contiennent aussi des
ingrédients « actifs » supplémentaires - en pourcentage moindre –
notamment du méthoprène et de pyriproxyfène. Le
Méthoprène et le
Pyriproxyfène sont les deux régulateurs de
croissance des insectes (IGR), qui limitent le développement de puces
juvéniles afin qu'elles ne puissent pas se reproduire. Les résultats des
essais indiquent que le méthoprène altère le foie (élargissement et prise
de poids) et participe à la dégénérescence d’une partie des reins.
Tous les ingrédients actifs cités ci-dessus ont induit
des réponses négatives chez les animaux de laboratoire. Bien que ces
nouveaux produits soient présentés comme plus sûrs que leurs
prédécesseurs, leur utilisation présente à court terme des niveaux
élevés d'intoxication aiguë et chronique.
Mode d'action
Les fabricants de ces pipettes antipuces (Spot-on)
ont réussi à convaincre de nombreux vétérinaires et prescripteurs que ces
produits n’étaient pas absorbés par les systèmes physiologiques de nos
chiens. La littérature des fabricants tente de nous expliquer avec une
vague argumentation, d’ailleurs souvent contradictoire, que ces produits
chimiques ne vont pas au-delà des follicules pileux et ne dépassent
pas les couches lipidiques supérieures de la peau des chiens. A titre d’exemple, si vous allez tout simplement sur le
site XXX
de la société qui fabrique cet antipuces à base de fipronil, vous pourrez
découvrir sur la page « Mode d’action » cet argumentaire de vente : « Après
application, XXX® ne
passe pas dans le sang de votre animal mais se concentre dans le sébum de
la peau de celui-ci (fine couche de surface) et est ainsi stocké dans les
glandes sébacées. XXX® se
caractérise donc par un stockage pour plusieurs semaines après
l'application, lui conférant sa résistance à la pluie, aux bains et aux
shampooings. » Néanmoins, lorsque le Dr Dobozy de l'EPA examine
les résultats d'une étude portant sur le métabolisme du fipronil par les
chiens, elle signale que "des quantités importantes de
fipronil se trouvent [non seulement] dans divers organes et graisses
des animaux observés mais aussi dans leurs urines et fèces ainsi que
dans bien d'autres parties du corps des animaux, ce qui démontre que le
produit chimique est bel et bien absorbé systémiquement par ces derniers
et non pas simplement emmagasiné dans les glandes sébacées ». Point n’est besoin d’être scientifique, notamment
lorsqu’on prête attention aux urines et aux fèces après traitement, pour
constater que ces substances sont en effet systémiquement absorbées par
nos chiens. Le Dr Stephen Blake, un vétérinaire de San Diego, nous raconte
l'expérience vécue par l’un de ses clients: « Il suffit de mettre un peu
plus de la pipette sur le dos de mes chiens pour que je puisse sentir
l’odeur du produit sur leur souffle quelques minutes après l'application
». Blake a déclaré que cette indication d'absorption immédiate n’était pas
compatible avec ce qu'il avait été amené à croire par la lecture de
la littérature du fabricant. Il continue donc, jusqu’à ce jour, à remettre
en question son innocuité pour les animaux de ses clients. »
Extrait de l’article en anglais de
Kathleen Dudley du
« THE WHOLE DOG JOURNAL ».
Lire
l'article |
30/10/2010: Nos Chiens survivront-ils aux croquettes ? |
1. Le rôle des enzymes pour leur santé
Préambule
Les animaux domestiques, comme les humains, sont sujets aux effets préjudiciables de l’alimentation industrielle, des additifs, de la pollution environnementale, et des conditions de vie contemporaines.
Tous ces facteurs peuvent affecter la santé physiologique et psychique de nos chiens et provoquer toutes sortes de maladies chroniques (dites de civilisation).
Concernant l’alimentation industrielle, le témoignage du Dr.vétérinaire Michael E .Dym de l’Hopital Vétérinaire County Lice du New Jersey, est clair :
« Depuis l'avènement des croquettes et autres aliments industriels différentes maladies affectant nos animaux de compagnie ont tout simplement explosé. Depuis les quarante dernières années, nous avons vu défilé dix- sept générations de chiens et de chats. Durant cette même période nous avons constaté une croissance considérable des maladies chroniques chez ces animaux, phénomène que nous voyions peu au début des années soixante. La plupart de ces maladies gravitent autour d'un effondrement du système immunitaire de nos animaux de compagnie.
Peu importe l'âge ou la race : allergies chroniques au niveau de la peau et des oreilles; désordres digestifs; désordres au niveau de la thyroïde, des glandes surrénales et du pancréas; crises; problèmes dentaires et gingivaux; arthrite dégénérative, insuffisance rénale, insuffisance hépatique et dégénérescence cognitive.
Nous constatons également un nombre record de désordres comportementaux et émotifs, incluant des agressions et des peurs alarmantes et inexplicables, de même que des difficultés de concentration et d'attention. »
Et de conclure :
« Les deux facteurs les plus importants qui expliquent le
déclin de la santé de la population animale au cours de ces années
sont l'utilisation abusive de vaccins polyvalents et la consommation
d'aliments industriels pauvres en nutriments et remplis de toxines. »
Les aliments industriels pour chiens, qu’ils soient secs ou humides, sous forme de croquettes ou de boîtes, sont certes très commodes d’emploi. Mais leurs fabricants, leurs prescripteurs et leurs revendeurs prétendent qu’ils sont meilleurs et mieux équilibrés que tout autre type d’alimentation !
Certes la multiplication croissante des
« premiums » peut nous laisser penser, que cette alimentation industrielle
s’améliore de jour en jour…Or ce n’est pas toujours le cas !
Aujourd’hui nous traiterons de l’impact énorme qu’engendre
l’absence d’enzymes dans la nourriture industrielle sur la santé de
nos chiens
Lire l'article |
10/09/10: Comment retarder le déclin du chien adulte et du chien âgé ? |
L’approche
nutritionnelle : une véritable révolution !
|
11/08/10: L’examen de santé du chien senior |
D
Un protocole rigoureux est nécessaire Une démarche préventive est de mieux en mieux accueillie
par les propriétaires de chiens vieillissants. La visite de santé « senior
» est en effet le moyen de dépister des affections séniles ou préséniles
de manière précoce, par une démarche anamnestique, en s’aidant de l’examen
clinique et d’un bilan biologique. Cet examen requiert un protocole
rigoureux afin d’explorer de manière satisfaisante les grandes fonctions. . |
24/06/10: Chiens de race pourquoi les protéger du soleil |
|
A chaque époque correspond une
maladie, une pandémie, dont la seule évocation fait frémir les humains. Au
XXIème siècle, il s’agit du cancer. Principale cause de décès chez
l’homme, cette terrible pathologie emporte près de la moitié des chiens de
race mourant de maladie et la moitié des chiens de plus de 10 ans. Maladie à composante génétique, le risque de cancer s’accroit à mesure du vieillissement de l’animal. Les vétérinaires et les maîtres sont de plus en plus conscients de la menace que cette affection fait planer sur les chiens. Les statistiques indiquent qu’un chien sur cinq développera un cancer au cours de sa vie, la forme la plus commune étant le cancer de la peau.
De fait,
les vétérinaires sont plus souvent consultés par les propriétaires de
chiens pour des problèmes cutanés que pour n’importe quel autre type de
trouble ou de maladie. La peau des chiens est presque aussi sensible que
la peau humaine et tous deux souffrent des mêmes troubles (hormis l’acné).
C’est pourquoi la dermatologie est devenue une spécialité pratiquée par
beaucoup de vétérinaires. Les animaleries vendent des produits contre les
maladies de la peau (avec un succès très aléatoire), mais la plupart de
ces produits traitent les symptômes sans régler le problème de fond, sans
parler des effets secondaires. Certaines règles d’hygiène alimentaire se sont
certes avérées efficace pour limiter l’apparition ou le développement du
cancer de la peau chez le chien. Ainsi des compléments nutritionnels tels
que les acides gras oméga-3, les TCMs ou les acides aminés comme la
glutamine ont démontré leur utilité chez les chiens, notamment les races
plus sujettes au cancer. Les progrès de la médecine vétérinaire concernant
le suivi thérapeutique et le traitement des cancers laissent, par
ailleurs, espérer un avenir moins sombre pour les générations canines à
venir. Et puisqu’on soupçonne une intervention de la génétique, on peut
toujours ne pas faire se reproduire un animal dont un parent, proche ou
lointain, a été atteint par la maladie. Le cancer n’apparaissant
généralement qu’à un âge avancé, c’est la seule façon d’évaluer le risque
chez un chien par ailleurs sain. Mais ce que l’on ignore trop souvent ce
sont les méfaits du rayonnement solaire sur le chien de race.
En effet, si l’origine
des tumeurs malignes de la peau est souvent inconnue et que certains virus
peuvent parfois être mis en cause, il n’en reste pas moins que
le dysfonctionnement hormonal et les
rayonnements solaires sont à l'origine du développement de bon nombre de
cancers cutanés chez le chien de race. La multiplication excessive des cellules tumorales est à
l'origine de modifications cutanées qui passent d'abord inaperçues, mais
qui rapidement provoquent des signes cliniques, qui doivent " faire penser
cancer ". Il s'agit essentiellement de lésions en relief, sous la forme de
plaques, d'excroissances, de nodules, de plus ou moins grande taille, qui
peuvent s'ulcérer et saigner. Ces lésions apparaissent dans n'importe
quelle zone du tégument cutané, et évoluent plus ou moins rapidement.
Retenons que l'aspect des différents types tumoraux est dans l'ensemble
relativement semblable, même si certaines tumeurs peuvent avoir des
caractéristiques évocatrices. La conséquence directe est la difficulté,
voire l'impossibilité d'affirmer le caractère agressif ou inoffensif de la
tumeur d'un point de vue clinique et la nécessité d'avoir recours le plus
rapidement possible à des examens complémentaires. Ainsi, il n'est pas
possible de prévoir le comportement d'un nodule de petite taille, sous
prétexte qu'il évolue lentement et semble peu agressif. D'autre part, il faut également noter que
certaines tumeurs cutanées peuvent se manifester sous des formes cliniques
très déroutantes, difficiles à diagnostiquer au prime abord : rougeur
généralisée de la peau, empâtement cutané localisé, déformation du
chanfrein…En outre, certaines tumeurs cutanées sont responsables de
l'apparition de syndromes dits paranéoplasiques, c'est à dire qui
accompagnent son développement, mais sans rapport direct avec sa présence
" physique ". Ainsi, on peut observer des vomissements, une diarrhée, un
amaigrissement, une soif augmentée, des troubles sanguins, une anémie...
Ces signes sont dans certains cas de véritables sonnettes d'alarme qui
permettent d'attirer l'attention vers la présence de telle ou telle tumeur
de la peau jusque là passée inaperçue (
source : Les Cockers de l'Etang au Coeur Sauvage.) Certaines races sont plus prédisposées que
d’autres aux tumeurs malignes de la peau engendrées par le rayonnement
solaire : les boxers, les labrador
retrievers, les teckels (mastocytomes de la peau), les beaucerons
(carcinomes epidermoïde), les dobermanns, les bouledogues, les bull
terriers, les bichons, les poodles, les schnauzers et la plupart des
chiens nus, à poil court et fin, à poil blanc et clair, à peau rose ainsi
que tous les chiens sujets à une exposition prolongée au soleil tels que
les chiens vivant à l’extérieur, les chiens en promenade, les chiens de
travail, les chiens rasés en tout ou partie et les chiens de compagnie
durant l’été.
Le problème est tel, qu’aux Etats-Unis, 94 % des vétérinaires spécialisées en dermatologie recommandent l’emploi d’écran solaire pour les chiens à forte prévalence et les plus exposés. Les besoins de diverses races de chiens en matière de protection solaire sont donc désormais reconnus par la majorité des vétérinaires aux Etats-Unis. Pour preuve, l’ American Animal Hospital Association et l’American College of Veterinary Dermatology communiquent beaucoup ces derniers temps sur le sujet. Et la presse spécialisée relaye de plus en plus l’information. |
17/06/10: Chiens seniors, une découverte révolutionnaire ?? |
Lors de la conférence sur les chiens
seniors organisée à Paris le 10 mai
dernier dans le cadre du luxueux hôtel Fouquet’s par
Nestlé-Purina
(première entreprise agro-alimentaire mondiale) et animée par un maître de
conférence de l’Ecole Nationale Vétérinaire de Lyon nous apprenons qu’une
« découverte nutritionnelle révolutionnaire
qui améliore de manière avérée les fonctions cognitives promet aux chiens
seniors un brillant avenir ». Cette
découverte est très largement relayée par la presse spécialisée
(voir revue VOS CHIENS Juin 2010) ainsi que par la revue vétérinaire
LESSENTIELVET dans son numéro de mars-avril 2010: « En cours de
publication dans le British Journal of
Nutrition (Pan
et al 2010),
les recherches révolutionnaires menées par Nestlé Purina ont prouvé les
bénéfices que présente l’ajout de triglycérides à chaîne moyenne (TCM)
dans l’alimentation des chiens seniors, avec un impact significatif sur
les fonctions cognitives, notamment l’amélioration de l’attention, de la
mémoire, de la capacité d’apprentissage et de la capacité d’adaptation à
des situations nouvelles. Véritable innovation en matière de nutrition
chez le chien senior, les TCM constituent une source d’énergie facilement
disponible pour les neurones afin de compenser la diminution du
métabolisme du glucose et ainsi, de rétablir un fonctionnement cérébral
normal avec une amélioration visible des fonctions cognitives chez le
chien vieillissant. Idéalement utilisés chez le chien à partir de 7 ans,
dès l’apparition des premières modifications physiologiques, les TCM
contribuent à retarder le processus de vieillissement cérébral chez le
chien. Avec le vieillissement
de plus en plus important de la population canine en Europe, on estime à
50 % la proportion de chiens considérés comme « seniors ». En conséquence,
les vétérinaires sont confrontés à un nombre croissant de diagnostics de
maladies liées à l’âge, mais également à une incidence plus élevée des
problèmes comportementaux liés au vieillissement. Les chiens de plus de
7 ans présentent des modifications significatives mais subcliniques du
fonctionnement cérébral, notamment des modifications morphologiques liées
à l’âge, mais également une diminution du métabolisme du glucose,
principale source d’énergie pour le cerveau. La diminution du métabolisme
du glucose a un impact direct sur le fonctionnement cérébral, conduisant à
des modifications du comportement cognitif et, à terme, à un
dysfonctionnement cognitif canin (DCC). Afin de rétablir un fonctionnement
cérébral normal, il est possible de stimuler d’autres voies d’apport en
énergie comme le ß-hydroxybutyrate et l’acétoacétate par le biais de la
nutrition, en ajoutant à l’alimentation du chien des TCM provenant de
certaines huiles végétales naturelles comme l’huile de cocos nucifera. Le
ß-hydroxybutyrate peut être
utilisé de manière efficace par les neurones
du cerveau vieillissant en tant que source d’énergie alternative,
compensant ainsi la diminution du métabolisme du glucose et contribuant à
rétablir un fonctionnement cérébral normal. Nestlé Purina a également
prouvé, par le biais d’importants tests cognitifs (à savoir les tests du
point de repère, d’auto-adaptation et de recherche de l’intrus), la
survenue d’améliorations significatives dans les domaines suivants chez
les chiens nourris avec des TCM :
mémoire et niveau d’interaction
adaptabilité et capacité de réaction associées à l’apprentissage de
nouveaux concepts
durée d'attention et vigilance Le fait de donner à un chien senior un aliment
contenant des MCT est un moyen éprouvé et efficace à la fois de retarder
les effets cognitifs du vieillissement et d’avoir une influence
considérable sur la qualité de vie du chien, mais également sur celle de
son propriétaire. |
17/11/10: A suivre |
A suivre Lire l'article |
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